Boris le Pinscher

Voici Boris, un Pinscher nain débordant d'énergie. Sa séance a été au début de l'été. Le temps a tellement passé vite, j'ai encore l'impression que c'étais il y a quelques semaine à peine.

Au début de chaque séance c'est une nouvelle adaptation pour moi. Chaque chien est différent et ne réagi pas de la même façon avec les sons, les gâteries ou les jouets. Avec Boris les sons ont fonctionné seulement au début, par chance que j'étais prête parce que ça a super bien sorti pour la première photo que j'ai prise.

Par la suite ça a été plus d'observer son comportement et essayer de l'avoir en photo. Je ne croyais pas qu'un Pinscher pouvais avoir autant d'énergie que ça !
Il aimais vraiment beaucoup les gâterie Faim Museau Peau de Saumon, pour les avoirs il sautait vraiment haut. Alors j'ai pris en rafale plusieurs photos pour essayer de l'avoir parfaitement dans les airs.
On a eu beaucoup de plaisir à le faire jouer, courir et sauter ! La séance vise bien entendu à prendre des photos de votre compagnon à 4 pattes mais aussi à vous faire vivre un moment spécial à tous les deux. J'aime vraiment au cours de ces occasions regarder le liens qui vous unis.

Pour réserver votre séance extérieur contactez-moi
Jessica.giguere.1@gmail.com
418-264-5913

 

www.jessicagiguere.com


Un week-end à Tadoussac avec mon chien.

2022 – Je constate que vous êtes plusieurs à regarder mon article été après été. Pour lire la mise à jour 2022 clic ici

Tadoussac avec les chiens

Je me suis dit que je ne suis certainement pas la seule à vouloir faire un week-end de vacances et emporter mon chien. Alors voilà j’ai décider de vous parler de ce que nous avons fait pendant ce week-end à Tadoussac.

Mon but c’était que Odyle ne soit pas obligé de rester dans l’auto, donc tout est prévu en conséquent de ça !

Québec – Tadoussac c’est environ 2h30 à 3h de route, donc on a prévu un arrêt à Malbaie pour souper et permettre à Odyle de se dégourdir les pattes. Avant de partir j’avais préparer une salade de nouille ainsi que quelques collation et notre déjeuner du lendemain.

Nous dormions dans une tente au Camping Tadoussac, ça fait plusieurs années qu’on va à celui la et c’est toujours très bien.

Voici des petites activité qu’on a fait
– promenade sur la plage dans la baie de Tadoussac
– petite randonné dans la parc à coté du centre d’interprétation des mammifère marin ( il a pas vraiment de nom )
– Poireauté un bout sur les rochers qui longe l’Anse à Cale sèche pour regarder le traversier et les voilier passer.
– prendre un souper coquet aux Dunes de sables
– marcher sur la plage le long des dunes de sable pour ramasser des coquillages
– faire un bon feu avec la vue sur le fleuve
– faire une randonnée au parc de la Baie-des-Rochers
– regarder le coucher du soleil à Pointe-Noir (du coter Charlevoix)

C’est sur que s’il ne fait pas beaux eh bien ça tombe à l’eau pour toutes les activité d’extérieur…

Voici quelques photos de notre week-end à Tadoussac avec Odyle

Odyle a eu bien du plaisir lors de ses vacances. Elle a dormi tout le long sur la route du retour à la maison.


Pawtrait Perfect

Cette semaine j'ai la chance d'être publié sur le site web de Pawtrait Perfect. à

Il y a quelques semaines j'ai soumis mes photos ainsi qu'un court texte de ma séance photo avec Daisy et Raphael. Eh voilà que aujourd'hui j'apprend que mes photos sont sur leur site web.
Wouhou :)

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Notre Road trip de l'ouest américain

L’ouest américain

Des étendues de roches rouges à perte de vue, des déserts interminables, des canyons tellement profonds qu’ils nous étourdissent d’un coup d’œil, des paysages de rêves et de films qui nous donnent des frissons, des émotions indescriptibles, voici ce qu’est l’ouest Américain. On reste sans mot devant certaines scènes, tellement leur taille est gigantesque. La nature nous offre un spectacle d’une beauté exceptionnelle : souvent difficile de croire que tout ceci est réel.

Dans cet immense territoire, vous trouverez plusieurs parcs naturels, tous différents mais tellement liées  à la fois. Chacun d’eux a une histoire géologique différente qui vous fera traverser des milliards d’années. De quoi vous donner le vertige !

Certain parc possèdent des paysages que l’on reconnaît grâce aux films de John Ford et de Sergio Leone, tel que l’emblématique Monument Valley qui a été utilisée comme décor. Encore aujourd’hui, plusieurs Amérindiens Navajo vivent de leur tradition au sein même de ce parc. Pour certains, le tourisme représente la majeure partie des activités, tandis que d’autres continuent l’élevage des bovins. J’ai été très surprise de constater que leurs animaux ne sont pas dans des pâturages clôturés, mais sont libre de se déplacer où bon leur semble, sauf, bien sûr, sur les routes ! Je me demande encore ce que mangent ces bêtes, l’herbe ne poussant pas à profusion dans cette région désertique.  La nuit tombée, les gigantesques rochers du parc prennent l’aspect d’ombres inquiétantes qui se découpent sur le ciel densément étoilés.

Canyonland, une autre curiosité géologique, est un univers possédant une magie bien à lui, pouvant ressembler au Grand Canyon, mais tout de même plus étroit et moins profond, sans perdre de majesté et d’éclat. Ses falaises abruptes ainsi que ses roches d’un rouge si saturé nous éblouissent. La route menant aux différents points de vue serpente le long du sommet des canyons et nous offre des panoramas à couper le souffle. Certaines, non-pavées, cascadent le long des falaises jusqu’au fond des gouffres, de quoi effrayer les automobilistes, qui devraient d’ailleurs s’abstenir d’y conduire étant donné l’étroitesse des chemins! Assurément le paradis des vététistes ces petites allées de terre font penser à des pistes de rallye. Lorsque l’heure du coucher du soleil approche, il est étonnant de constater à quel point aucun son n’est perceptible. La tranquillité de la nature nous enveloppe de façon oppressante, nous laissant entendre le bourdonnement de nos propres oreilles. Les citadins croiront rêver tellement ces sensations externe leur sont étrangères.

Le Grand Canyon, de son coté, immensément large (30 km) et profond (1600 mètres) nous donne des difficultés à assimiler ses volumes et ses espaces. Il est si abyssal que la différence de température entre son fond et son sommet peut parfois atteindre 30 degrés. La faune y est donc très diversifiée, abritant principalement des mammifères en hauteur et des reptiles près du fleuve Colorado qui déploie ses méandres au fond du canyon. Pour le découvrir pleinement, il nous aura fallu descendre quelques centaines de mètres par un des sentiers très bien aménagés que les randonneurs peuvent parcourir en tout ou en partie selon leur endurance. Il faut prévoir une expédition aller-retour de deux jours pour atteindre le fleuve. À plusieurs endroits dans le parc, des affiches nous informent sur ces sentiers et leur difficulté. À noter que pour camper au Grand Canyon, un permis spécial est requis. Pour les moins aventureux et les touristes pressés, un vol en hélicoptère comblera vos attentes et vos yeux.

À Arches Park, mieux vaut  s’armer de bonnes chaussures, car certaines randonnées nécessitent une marche de quelques kilomètres pour atteindre l’arche tant convoitée. Delicate Arch, un des emblèmes de l’Utah, vaut définitivement l’excursion. Lorsque l’on voit l’arche, si énorme, si près de tomber de cette falaise, bref, si spectaculaire, nous comprenons pourquoi les gens se fatiguent à s’y rendre. Le parc, contenant plus de 2000 arches naturelles en pierres vous donneras amplement le choix des visites Nous avons particulièrement apprécié Double Arch ainsi que Park Avenue, un impressionnant passage ceinturé par d’abruptes tours rocheuses.

Décidemment, l’ouest Américains, cette grande aventure classique, vaut franchement la peine d’être vécue. Ses paysages, ses odeurs (oui, malgré le fait que nous soyons dans le désert, il y en a beaucoup) et les impressions qu’elle nous laisse sont autant de bonnes raisons de prendre ne serait-ce qu’une semaine de vacances pour partir à la découverte de ces étendues sauvages qui semblent tout droit sorties d’une époque lointaine. Un véritable coup de cœur!

Hágoónee’  (Au revoir, en Navajo)